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Selon
l’auteur,
"Le
Code
Napoléon
est
fait
pour
être
dans
toutes
les
mains
;
il
doit
être,
pour
les
Français,
le
livre
le
plus
familier
[…].
Il
faut
donc
qu’il
puisse
se
graver
dans
la
mémoire."
Dans
cette
perspective,
une
mise
en
vers
est
l’idéal
:
"Ceux
qui
sont
doués
de
la
mémoire
la
plus
heureuse,
se
rappellent
et
citent
rarement
des
morceaux
en
prose,
tandis
qu’il
sont
riches
en
citations
poétiques."
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Decomberousse
pense
en
particulier
aux
femmes
:
"Pourquoi
ne
fixerait-on
pas
l’attention
des
femmes
sur
le
Code
Napoléon,
en
piquant
leur
curiosité
?
[…]
Ce
n’est
pas
qu’elles
doivent
faire
du
Code
une
étude
approfondie
[…].
Mais
on
doit
avouer
qu’une
notion
générale
des
droits
et
des
devoirs
qui
les
concernent
ne
saurait,
en
elles,
blesser
les
convenances,
et
qu’elle
leur
serait,
dans
plus
d’une
occasion,
d’une
utilité
reconnue."
L’extrait
reproduit
permettra
au
lecteur
d’apprécier
lui-même
cette
tentative
d’allier
le
droit
et
la
poésie.
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