Il
présente
son
recueil
comme
un
«
tribut
de
reconnaissance
que
tout
Français
doit
au
gouvernement
qui
nous
assure
enfin
le
bonheur
de
posséder
un
Code
[…]
qui
enfin
constitue
principalement
les
mœurs
d’une
nation.
»
Cette
compilation
n’est
cependant
pas
complète
:
l’éditeur
reconnaît
qu’il
«
eût
été
à
désirer
de
pouvoir
enrichir
ce
recueil
de
la
discussion
faite
au
Conseil
d’État
:
mais
le
respect
dû
aux
propriétés
littéraires
ne
m’a
pas
permis
cette
insertion.
»
Les
procès-verbaux
des
discussions
du
Conseil
d’État
font
en
effet
l’objet
d’une
publication
officielle
par
l’imprimerie
de
la
République.
L’éditeur
s’empresse
de
préciser
qu’il
assure
la
diffusion
de
cet
ouvrage
«
qui,
comme
le
procès-verbal
des
conférences
de
l’ordonnance
de
1667,
deviendra
la
source
où
l’on
puisera
le
véritable
esprit
de
chaque
loi.
»
|